Depuis deux ans L’espoir, c’est la vie agit en partenariat avec la Fondation du cancer du sein du Québec (FCSQ) dans le cadre du programme de santé seins et os – un modèle innovateur visant à prévenir la perte osseuse chez les femmes à risque élevé de développer de l’ostéoporose comme effet secondaire de leur traitement contre le cancer. L’ostéoporose est une perte osseuse qui peut causer de la douleur, des fractures et une diminution importante de la qualité de vie.
En date du vendredi le 23 septembre, Nathalie Tremblay, présidente et directrice générale, Maxime Dumais, vice-président, Programmes d’investissements en cancer du sein et Line Dufresne, coordonnatrice, Programmes d’investissements dans la communauté, ont visité le siège social de L’espoir, c’est la vie au Centre du cancer Segal afin de regarder de plus près une plaque reconnaissant la générosité de la FCSQ et pour rencontrer les personnes responsables du succès du programme.
«Nous sommes tellement heureux de constater que notre investissement dans ce projet visant à améliorer la qualité de vie des femmes atteintes du cancer du sein donne des résultats si remarquables» a dit Madame Tremblay.
Le programme est piloté par Marize Ibrahim, physiothérapeute et Garnet Lau, infirmière-chercheure qui travaillent sous la supervision du directeur scientifique de L’espoir, c’est la vie, Dre Carmen Loiselle. La première étape du programme est l’identification des femmes à risque pour la perte osseuse (ostéoporose). Par la suite, on leur offre une évaluation rigoureuse de leur état, des conseils nutritionnels et un plan d’exercices personnalisé. En plus d’aider des femmes individuellement, le programme vise à développer, tester et peaufiner un modèle de soins qui pourrait être facilement transposable dans d’autres centres de cancer et de réadaptation à travers le Québec. Jusqu’à date, 200 femmes se sont inscrites au programme, qui est appuyé par une subvention généreuse de trois ans de la part de la FCSQ.
Il est essentiel de sensibiliser les femmes, notamment les jeunes chez qui les traitements peuvent déclencher la ménopause, aux risques associés à l’ostéoporose. C’est pour cette raison que le programme prévoit le développement de matériel éducatif à distribuer partout au Québec.
Dr. Gerald Batist, directeur du Centre du cancer Segal, Antoinette Ehrler, directrice adjointe des soins infirmiers, Suzanne O’Brien, directrice générale de L’espoir, c’est la vie, Marcelle Kecman, coordonnatrice du Centre du bien-être de L’espoir, c’est la vie / Chez Lou, Garnet Lau et Marize Ibrahim étaient également présents pour la présentation de la plaque.
Au nom de tous chez L’espoir, c’est la vie, Madame O’Brien a remercié la FCSQ pour son soutien. «Les patientes ici à l’hôpital et les survivantes du cancer que nous avons le privilège d’appuyer ne sont pas les seules personnes à bénéficier de ce partenariat, car il a un grand potentiel pour aider les femmes à travers le Québec. Nous sommes reconnaissants à la FCSQ pour sa générosité».